La Bite du Géolien... loin
Bonjour à tous. C’est une nouvelle importante que nous vous apportons de Suède. Je vais être franc et sans doute très direct pour certain et je m’excuse par avance pour les évanouissements, mort, explosion ou tout autre cataclysme qui pourrait survenir à la lecture de ceci : NOUS AVONS RETROUVE LA BITE DU GEOLIEN. Elle traînait là depuis des année dans la poussière d’une vielle d’une carothèque de BOLIDEN (la boite où nous faisons notre stage) au Nord de la Suède.

Imaginé ce qu’elle a dû subir depuis sa fuite de Nancy. Pour quelles raisons d’ailleurs ? Cela reste encore à déterminer. Elle a traversé l’Europe jusqu’à ce que le grand froid ne l’arrête, c’est abrité dans un grand hangar où travaillait alors quelques géologues inconnus qui ne connaissait même pas la chanson à sa gloire, les soirée dans les collocs de la rue Jeanne d’Arc ou même Madame Homan. Elle a donc dû se camoufler pour que personne de la reconnaisse, se cacher à l’étroit parmi des carottes toutes fraîches (dédicace à Lapin) et pas encore rangée sur les grandes étagères du « Core Shed », menaçantes par leur hauteur. Et puis l’hiver l’a rattrapé, dans cet endroit mal chauffé et elle s’est endormie, toute petite dans sa boite. Ce n’est qu’au printemps, quand les rayons du soleil réchauffaient enfin les parois de taules de l’édifice, qu’elle se réveilla coincée de toute part, archivée, stockée sur l’une de ces grandes étagères d’acier. Elle se sentait déjà à l’étroit dans cette caisse alors que l’été n’avait pas encore commencé. Allait-elle voir le soleil de minuit au milieu du mois de juillet ? Oui tant bien que mal elle résista jusque-là et plus encore.
C’est alors que commença un cycle infernal de saisons, de retrait gonflement, d’années.
Des années à attendre, à dormir coincé dans cette boîte. Jusqu’au jour où des géologues de Boliden s’intéressèrent à cette boîte. Oh non, ils ne s’intéressent pas à elle, d’ailleurs ils ne soupçonnaient même pas son existence. Non, ils s’intéressent aux désormais vieille carottes qu’elle a côtoyé pendant tant d’année et dont elle a fini par prendre les traits.
Vive la liberté et longue vie a la bite du géolien !
Nous vous rappelons que nous sommes toujours à la recherche d’une chounne, d’une paire de sein et de deux fesses.
Imaginé ce qu’elle a dû subir depuis sa fuite de Nancy. Pour quelles raisons d’ailleurs ? Cela reste encore à déterminer. Elle a traversé l’Europe jusqu’à ce que le grand froid ne l’arrête, c’est abrité dans un grand hangar où travaillait alors quelques géologues inconnus qui ne connaissait même pas la chanson à sa gloire, les soirée dans les collocs de la rue Jeanne d’Arc ou même Madame Homan. Elle a donc dû se camoufler pour que personne de la reconnaisse, se cacher à l’étroit parmi des carottes toutes fraîches (dédicace à Lapin) et pas encore rangée sur les grandes étagères du « Core Shed », menaçantes par leur hauteur. Et puis l’hiver l’a rattrapé, dans cet endroit mal chauffé et elle s’est endormie, toute petite dans sa boite. Ce n’est qu’au printemps, quand les rayons du soleil réchauffaient enfin les parois de taules de l’édifice, qu’elle se réveilla coincée de toute part, archivée, stockée sur l’une de ces grandes étagères d’acier. Elle se sentait déjà à l’étroit dans cette caisse alors que l’été n’avait pas encore commencé. Allait-elle voir le soleil de minuit au milieu du mois de juillet ? Oui tant bien que mal elle résista jusque-là et plus encore.
C’est alors que commença un cycle infernal de saisons, de retrait gonflement, d’années.
Des années à attendre, à dormir coincé dans cette boîte. Jusqu’au jour où des géologues de Boliden s’intéressèrent à cette boîte. Oh non, ils ne s’intéressent pas à elle, d’ailleurs ils ne soupçonnaient même pas son existence. Non, ils s’intéressent aux désormais vieille carottes qu’elle a côtoyé pendant tant d’année et dont elle a fini par prendre les traits.
Vive la liberté et longue vie a la bite du géolien !
Nous vous rappelons que nous sommes toujours à la recherche d’une chounne, d’une paire de sein et de deux fesses.